Les responsabilités du propriétaire en matière de sécurité des locataires

Propriétaire bailleur : comment garantir la sécurité de vos locataires ? Logement décent, installations aux normes, détecteur de fumée... Découvrez vos obligations légales en 2025.

Marie Nouhaud

27 novembre 2024

5 Minutes de lecture

Sécurité logement LMNP

La sécurité des locataires est un impératif légal et moral pour tout propriétaire bailleur, qu’il loue en meublé (statut LMNP/LMP) ou vide. La loi française impose de délivrer un logement décent « ne portant pas atteinte à la sécurité ou à la santé du locataire ». En 2025, ces obligations se sont même renforcées avec l’interdiction progressive de louer des logements trop énergivores ou dangereux. Ne pas respecter ces règles expose le propriétaire à des sanctions, sans compter sa responsabilité civile en cas d’accident. Dans cet article, nous détaillons de façon pragmatique toutes les responsabilités du propriétaire pour assurer la sécurité de ses locataires : critères de décence du logement, conformité des équipements (électricité, gaz, etc.), dispositifs de sécurité obligatoires (comme le détecteur de fumée), obligations d’entretien, assurances et dernières évolutions légales. L’objectif est de vous fournir un guide complet, à jour des lois 2025, afin de louer en toute sérénité et de garantir la protection de vos occupants.

 
 

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Garantir un logement décent et sûr

La première responsabilité du bailleur est de fournir un logement décent et sécurisé. Un logement est dit décent s’il ne présente aucun risque pour la sécurité ou la santé des locataires. Cela recouvre plusieurs aspects concrets : le gros œuvre doit être en bon état (pas d’infiltration d’eau ou d’air dangereuse), les garde-corps (fenêtres, escaliers, balcon) doivent être présents et solides pour prévenir les chutes, et les matériaux de construction ne doivent pas exposer à des substances toxiques (par exemple, absence d’amiante friable ou de peinture au plomb dégradée). De plus, les réseaux d’électricité et de gaz doivent être conformes aux normes de sécurité et en bon état de fonctionnement. Le logement doit aussi comporter les équipements de base assurant l’hygiène et la sécurité : chauffage et eau chaude sécurisés, aération suffisante pour éviter l’humidité et les moisissures, éclairage naturel minimal, etc. Enfin, un logement infesté de nuisibles (rats, punaises…) ou faisant l’objet d’un arrêté d’insalubrité ne peut être considéré comme décent – le propriétaire a alors l’obligation de traiter ces problèmes avant mise en location.

À jour 2025 : performance énergétique. Le critère de décence intègre désormais une exigence d’efficacité énergétique minimale. Avec la loi Climat, les logements classés G au diagnostic de performance énergétique (DPE) sont interdits à la location à compter du 1er janvier 2025. Autrement dit, si votre logement est une « passoire thermique » (classe G), vous ne pouvez plus le louer tant qu’il n’a pas été rénové pour améliorer sa note. Les logements classés F subiront la même interdiction en 2028, puis les E en 2034. Cette mesure vise à protéger les occupants des habitats trop mal isolés qui peuvent nuire à leur santé (froid, humidité) et engendrer des charges excessives de chauffage. En tant que propriétaire, il faut donc anticiper ces échéances et réaliser les travaux nécessaires (isolation, changement de chaudière…) pour rester en conformité et assurer le confort thermique de vos locataires. 

A noter : Louer un logement indécent sur le plan de la sécurité ou de la salubrité vous expose à ce que le locataire saisisse la justice afin d’imposer des travaux, voire une réduction de loyer en attendant la mise en conformité. Mieux vaut donc agir préventivement et s’assurer que le bien satisfait 100% des critères de décence.

Conformité des installations : électricité, gaz et diagnostics obligatoires

Installations aux normes. Le propriétaire a l’obligation de louer un logement avec des installations électriques et gaz conformes. En pratique, cela signifie que l’ensemble du réseau électrique (tableau, fils, prises…) ne doit pas présenter de danger (pas de fils dénudés, de risque d’incendie ou d’électrocution). Idem pour l’installation de gaz : elle doit être saine (pas de fuite) et aux normes actuelles. Si les installations ont plus de 15 ans, la loi impose la réalisation de diagnostics électricité et gaz avant la mise en location, afin d’informer le locataire de l’état des réseaux. Ces diagnostics obligatoires font partie des documents à fournir lors de la signature du bail. Si un diagnostic révèle une anomalie grave (ex. absence de mise à la terre, tuyauterie gaz défectueuse), le propriétaire doit effectuer les travaux pour éliminer le danger avant la location. En effet, fournir le diagnostic ne dispense pas de réparer : il en va de votre responsabilité de livrer un logement sûr. Par ailleurs, certains équipements doivent être vérifiés : par exemple, une chaudière gaz individuelle doit être entretenue chaque année (cette révision annuelle est à la charge du locataire, mais en cas de défaillance grave, le bailleur doit procéder aux réparations ou au remplacement de l’appareil). Pensez également aux ventilations et conduits d’évacuation : ils doivent être fonctionnels et non obstrués, car une mauvaise aération peut causer intoxication au monoxyde de carbone ou moisissures.

Diagnostics et informations à remettre au locataire. Lors de la location, le bailleur doit fournir un dossier de diagnostics techniques incluant : le DPE (Diagnostic de Performance Énergétique), le CREP si le logement date d’avant 1949 (Constat de Risque d’Exposition au Plomb, pour prévenir le saturnisme), l’état d’installation intérieure électricité et gaz (si installations de plus de 15 ans), ainsi qu’un ERP (État des Risques et Pollutions) à jour. L’ERP informe des éventuels risques naturels ou technologiques (zone inondable, sismicité, radon, etc.) pouvant affecter la sécurité du locataire. Tous ces documents informent le locataire de l’état du logement et visent à la transparence. Même si le diagnostic amiante n’a pas à être annexé au bail dans la plupart des cas, le propriétaire d’un immeuble construit avant 1997 doit avoir fait un DAPP (Diagnostic Amiante des Parties Privatives) et le tenir à disposition en cas de demande. En résumé, assurez-vous d’effectuer et de communiquer tous les contrôles réglementaires : c’est non seulement une obligation légale, mais aussi un gage de sécurité et de confiance pour votre locataire.

Attention : Depuis 2023 un diagnostic bruit est également requis si le logement se situe dans une zone d’exposition au bruit des avions (plan d’exposition au bruit).

Équipements de sécurité obligatoires et prévention des sinistres

Certains dispositifs de sécurité sont rendus obligatoires par la loi dans les logements loués, et c’est au propriétaire de les installer. Le principal est le détecteur autonome avertisseur de fumée (DAAF) : depuis le 8 mars 2015, tout logement doit être équipé d’au moins un détecteur de fumée normalisé, installé aux frais du bailleur. Le propriétaire doit poser ce détecteur à un emplacement stratégique (généralement dans le couloir ou la pièce de vie principale) et s’assurer de son bon fonctionnement lors de l’état des lieux d’entrée. En cours de bail, la responsabilité de l’entretien du détecteur (changement des piles, tests périodiques, dépoussiérage) dépend du type de location : pour une location vide, le locataire doit entretenir le détecteur, alors que pour une location meublée, c’est au propriétaire de le faire ou de le faire faire. Cette distinction, issue de la loi Alur, vise à garantir la sécurité dans les locations meublées souvent plus courtes. Quoi qu’il en soit, si votre locataire vous signale un détecteur défaillant ou absent, intervenez sans tarder – non seulement le risque d’incendie est en jeu, mais en plus votre assurance multirisques habitation pourrait refuser de vous indemniser en l’absence de DAAF.

En matière de prévention des accidents domestiques, d’autres équipements ou mesures peuvent être nécessaires selon le contexte du logement :

  • Piscine : si votre maison louée possède une piscine privée enterrée, la loi impose l’installation d’un dispositif de sécurité normalisé (barrière, alarme, couverture ou abri) pour éviter les risques de noyade des enfants. Le propriétaire doit mettre en place un de ces systèmes conformes aux normes AFNOR dès la mise en service de la piscine. En cas de manquement et d’accident, l’amende encourue peut atteindre 45 000 €.

  • Chauffage et monoxyde de carbone : assurez-vous que les appareils de chauffage à combustion (chaudière, chauffe-eau, poêle) soient régulièrement entretenus pour éviter les fuites de monoxyde de carbone. Un détecteur de monoxyde de carbone, bien que pas encore obligatoire en France en 2025, est fortement recommandé si le logement comporte une chaudière gaz, un poêle à bois ou une cheminée. Cet appareil peu coûteux peut sauver des vies en alertant en cas de gaz toxique invisible.

  • Autres dispositifs : vérifiez que les portes d’entrée et fenêtres ferment correctement (pour la sécurité contre les intrusions), que les garde-fous et rambardes soient bien fixés, et que les extincteurs ou couvertures anti-feu éventuellement mis à disposition sont en état (bien que non obligatoires en logement individuel, certains propriétaires en fournissent comme mesure de précaution supplémentaire, notamment dans les locations saisonnières). Pensez également au ramonage des conduits de cheminée si le logement en possède : le règlement sanitaire départemental impose en général un ramonage annuel (souvent à la charge du locataire) pour prévenir les feux de cheminée. En tant que bailleur, veillez à ce que cela soit fait (demandez l’attestation de ramonage) ou proposez de le prendre en charge si nécessaire, car la sécurité prime.

Enfin, une bonne pratique consiste à remettre au locataire un livret de bienvenue ou des consignes de sécurité à l’entrée dans les lieux : par exemple, les numéros d’urgence, le rappel d’entretenir les ventilations, l’emplacement du disjoncteur et du robinet de gaz, etc. Cela va au-delà des obligations légales, mais montre votre sérieux et peut éviter des imprudences. La prévention est votre alliée : un logement sûr résulte autant du respect des normes que de l’information des occupants sur les bons usages et entretiens courants.

Obligation d’entretien et réparations : le devoir de maintenance

Assurer la sécurité des locataires ne s’arrête pas à livrer un logement conforme le premier jour : le propriétaire doit entretenir le logement tout au long du bail. Juridiquement, vous êtes tenu de réaliser toutes les réparations autres que locatives pendant la location. Autrement dit, les petites réparations ou l’entretien courant (changement d’ampoules, entretien annuel de la chaudière, purge des radiateurs, etc.) incombent au locataire, mais tout ce qui est gros œuvre, mise aux normes ou remplacement d’équipement défectueux reste votre responsabilité. Par exemple, si une fuite d’eau importante se déclare à cause d’une canalisation vétuste, c’est à vous de la faire réparer rapidement. De même, en cas de panne du chauffe-eau ou de la chaudière non due à un mauvais usage, vous devez missionner un professionnel pour dépanner ou remplacer l’appareil. La réactivité est de mise : un défaut de chauffage en hiver ou une installation électrique dangereuse doivent être traités immédiatement pour ne pas mettre en danger vos occupants. D’ailleurs, la loi vous impose de garantir à votre locataire une jouissance paisible des lieux – un logement où la sécurité n’est pas assurée (risque d’incendie, d’effondrement, etc.) contrevient à cette obligation.

En pratique, il est conseillé d’instaurer un canal de communication réactif avec le locataire pour qu’il vous remonte sans délai les problèmes techniques affectant la sécurité. Une fois informé, ne tardez pas à intervenir ou à faire intervenir une entreprise. Gardez à l’esprit que le bailleur est garant des vices et défauts du logement, même cachés, qui empêchent d’en profiter en sécurité, conformément à l’article 1721 du Code civil. Vous ne pouvez vous exonérer de cette responsabilité que si vous prouvez que le problème est dû à une faute du locataire ou à un cas de force majeure. À défaut, votre locataire pourra exiger en justice une réduction de loyer, des dommages-intérêts ou la résiliation du bail si vous laissez le logement se dégrader au point de devenir dangereux. Mieux vaut donc prévenir que guérir : réaliser des travaux de rénovation quand c’est nécessaire (ex : remettre aux normes une ancienne installation électrique, changer des fenêtres trop anciennes, consolider un plancher fragile) vous permettra d’éviter des accidents et des litiges. Notez que ces dépenses d’amélioration de la sécurité sont déductibles de vos revenus fonciers ou amortissables si vous louez en régime réel LMNP, ce qui allège leur coût. Investir dans la sécurité est gagnant-gagnant : vous protégez vos locataires et la valeur de votre bien, tout en bénéficiant d’avantages fiscaux.

Responsabilité civile du propriétaire et assurances

Malgré toutes les précautions, un sinistre peut survenir dans le logement. Si un locataire, un visiteur ou un voisin est blessé à cause d’un défaut d’entretien ou une négligence du propriétaire, la responsabilité civile du bailleur peut être engagée : vous pourrez être tenu pour responsable et devoir indemniser la victime. Par exemple, la chute d’un locataire due à la rupture d’une rampe d’escalier vermoulue, une intoxication au gaz causée par une vieille chaudière non conforme, ou un dégât des eaux venant d’une toiture mal entretenue sont autant de situations où votre responsabilité de propriétaire bailleur peut être recherchée. La jurisprudence est claire : vous avez une obligation de sécurité de résultat envers le locataire sur les éléments qui sont sous votre contrôle. Il vous incombe de prouver, le cas échéant, que le dommage n’est pas de votre faute (par exemple, que le locataire a lui-même provoqué le défaut par un mauvais usage) pour éviter d’être déclaré responsable.

Compte tenu de ces risques, il est vivement conseillé (et dans certains cas obligatoire) de souscrire une assurance responsabilité civile propriétaire, généralement via un contrat de Propriétaire Non Occupant (PNO). Cette assurance vous couvre en cas de dommages causés aux tiers du fait de votre bien. D’ailleurs, si votre logement est en copropriété, la loi ALUR impose au bailleur copropriétaire d’être assuré au moins en responsabilité civile. Pour les propriétaires de maisons individuelles, ce n’est pas une obligation légale générale, mais ne pas être assuré est une faute imprudente : en cas d’accident grave, les conséquences financières peuvent être lourdes (frais d’hospitalisation, préjudice matériel et moral à indemniser, etc.). Une assurance PNO couvre par exemple les blessures d’un locataire suite à un vice du logement, les dégâts matériels causés par un élément défectueux (un incendie d’origine électrique, un volet qui tombe sur un passant…), et même les pertes de loyers en cas de sinistre rendant le logement inhabitable. Vérifiez bien les garanties de votre contrat : certains incluent aussi la protection juridique, utile en cas de litige avec un locataire.

Enfin, sachez que le non-respect des obligations de sécurité peut engager votre responsabilité pénale dans les cas les plus graves. Par exemple, si un incendie ou un accident mortel survient et qu’une enquête démontre une négligence grave du bailleur (absence du détecteur de fumée, installation dangereuse signalée mais non réparée…), vous pourriez faire l’objet de poursuites pour mise en danger de la vie d’autrui, voire homicide involontaire. Sans aller jusqu’à ces situations extrêmes, un propriétaire imprudent risque déjà des sanctions administratives : la mairie ou la préfecture peut prendre un arrêté de péril ou d’insalubrité interdisant la location jusqu’aux travaux, voire vous obliger à reloger temporairement les occupants à vos frais. En somme, la responsabilité du bailleur en matière de sécurité est engagée sur tous les plans – civil, administratif et parfois pénal. D’où l’importance de respecter scrupuleusement vos obligations et de vous assurer correctement, afin de louer l’esprit tranquille.

Pour conclure, en 2025, les responsabilités du propriétaire en matière de sécurité des locataires n’ont jamais été aussi étendues. Du respect des critères de logement décent (solidité, absence de danger, performance énergétique minimale) à l’installation de dispositifs obligatoires comme les détecteurs de fumée, en passant par la mise aux normes des installations techniques et la réalisation des diagnostics requis, le bailleur doit se montrer exemplaire. Cette rigueur n’est pas qu’une contrainte : elle sert avant tout à protéger les occupants et à prévenir les accidents ou litiges coûteux. Un propriétaire qui assume pleinement ses obligations de sécurité crée une relation de confiance avec son locataire, préserve la valorisation de son bien et s’épargne des ennuis juridiques. À l’inverse, la moindre négligence (un garde-corps branlant, un chauffage défectueux, un logement indécent laissé en l’état…) peut avoir des conséquences dramatiques humainement et financièrement. En tant que bailleur, adoptez donc une démarche proactive : informez-vous régulièrement des évolutions légales, faites réaliser les contrôles et travaux nécessaires, conservez les justificatifs (attestations d’entretien, diagnostics), et ne lésinez pas sur la prévention. La sécurité des locataires est un enjeu central de la location immobilière – en la plaçant au cœur de votre gestion, vous sécurisez par la même occasion votre investissement locatif. Louer en conformité avec la loi et le bon sens vous permettra de dormir sur vos deux oreilles, tout comme vos locataires dans le logement que vous leur avez confié.

Foire aux Questions

1. Un propriétaire est-il responsable en cas d’accident d’un locataire ?
Oui. Sa responsabilité civile est engagée si l’accident découle d’un défaut du logement ou d’un mauvais entretien. Sauf faute prouvée du locataire, le bailleur indemnise ; d’où l’intérêt d’une assurance PNO.

2. Qui doit installer et entretenir le détecteur de fumée ?
Le propriétaire l’achète et l’installe avant la location et vérifie son bon fonctionnement lors de l’état des lieux. Entretien courant : locataire en location vide ; bailleur en meublé.

3. Quelles sont les principales normes de sécurité d’un logement décent ?
Structure saine, garde-corps solides, installations électricité/gaz sûres, ventilation correcte, absence de plomb/amiante accessibles, pas d’humidité ni nuisibles. Depuis 2025, interdiction de louer un logement classé G au DPE tant qu’il n’est pas rénové.

4. Le propriétaire doit-il souscrire une assurance pour un logement en location ?
Obligatoire en copropriété (responsabilité civile bailleur). Recommandée dans tous les cas : la PNO couvre les dommages causés aux locataires ou voisins et protège le bailleur contre des indemnisations potentiellement lourdes.

5. Que risque un bailleur en infraction sur la sécurité ?
Mise en demeure puis travaux imposés et/ou baisse de loyer, astreinte financière, arrêtés d’insalubrité ou de péril avec relogement à ses frais. Possible poursuite pénale en cas d’accident grave. L’assureur peut réduire ou refuser l’indemnisation.

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