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Vous louez votre logement en meublé touristique (Airbnb, Booking, etc.) sans avoir déclaré cette activité à l’URSSAF ? Attention : dès que vos recettes dépassent 23 000 € par an, la loi impose une affiliation et le paiement de cotisations sociales. Ne pas respecter cette obligation expose à des redressements coûteux et même à des sanctions pénales. Dans cet article, nous expliquons pourquoi ce seuil de 23 000 € est crucial, quelles démarches effectuer pour vous mettre en règle, quels risques vous encourez en cas de non-déclaration, et comment régulariser votre situation le cas échéant. Notre objectif : vous aider à éviter les mauvaises surprises et à gérer sereinement votre fiscalité LMNP, tout en profitant des avantages du statut (couverture retraite, santé, etc.) liés à une affiliation en bonne et due forme.
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Pourquoi le seuil de 23 000 € est-il si important ?
Le montant 23 000 € de recettes annuelles brutes est un seuil clé introduit fin 2021 dans le Code de la Sécurité sociale. Que se passe-t-il au-delà ?
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En dessous de 23 000 € : Vos revenus de location meublée restent traités comme des revenus du patrimoine privé. Vous n’êtes pas soumis aux cotisations sociales URSSAF, seulement aux prélèvements sociaux (17,2 %) sur vos bénéfices. Vous conservez donc le statut de loueur en meublé non professionnel (LMNP) classique, sans charge sociale spécifique.
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Au-dessus de 23 000 € : La location meublée est considérée comme une véritable activité commerciale nécessitant une affiliation sociale. Dès le 1er euro au-delà de 23 000 €, vous devez vous affilier à l’URSSAF et payer des cotisations sociales sur l’ensemble de vos recettes (même si vous avez un déficit comptable). En pratique, cela signifie basculer dans un régime de travailleur indépendant ou assimilé pour cette activité, un peu comme un hôtelier professionnel. Cette obligation s’applique que vous restiez LMNP ou que vous deveniez officiellement LMP (loueur en meublé professionnel) – le statut LMP étant atteint si, en plus, vos recettes meublées dépassent vos autres revenus d’activité du foyer. Dans les deux cas, l’affiliation est impérative.
Pourquoi 23 000 € ? Ce seuil vise à éviter que les loueurs “intensifs” échappent aux cotisations sociales alors que leur activité s’apparente à celle d’un professionnel (hôtel, gîte, etc.). Il faut savoir que l’administration fiscale et l’URSSAF obtiennent désormais les données de revenus transmises par les plateformes (Airbnb, Abritel…). Autrement dit, si vous dépassez le seuil sans vous déclarer, vous serez tôt ou tard repéré. Mieux vaut donc anticiper pour éviter un rattrapage douloureux.
À noter :
Le seuil de 23 000 € s’apprécie par foyer fiscal et toutes locations meublées confondues. Si vous louez plusieurs logements (courte et longue durée), additionnez toutes les recettes brutes annuelles. Par ailleurs, il s’agit du montant brut encaissé par les voyageurs, avant déduction des frais de plateforme ou d’abattement fiscal. Enfin, depuis la loi de finances 2025 (dite loi anti-Airbnb), le régime micro-BIC est restreint : un meublé de tourisme non classé ne bénéficie plus que d’un abattement fiscal de 30 % avec un plafond micro à 15 000 € de recettes annuelles, contre 77 700 € auparavant. Cependant, le seuil URSSAF de 23 000 € demeure inchangé : même si le micro-BIC n’est plus accessible au-delà de 15 000 € de loyers pour les logements non classés, l’obligation d’affiliation URSSAF n’intervient qu’à 23 000 €. Il est donc tout à fait possible d’être au régime réel fiscal dès 15 000 € de recettes, sans avoir encore de cotisations sociales à payer tant que vous restez sous 23 000 €. (Pour les meublés de tourisme classés, le plafond micro-BIC reste élevé à 77 700 €, abattement 50 % dès 2025, et le seuil URSSAF de 23 000 € s’applique de la même manière.)
Quelles démarches pour se mettre en règle après 23 000 € ?
Franchir ce seuil implique de formaliser votre activité de location meublée. Voici comment procéder pour éviter tout ennui :
1. Immatriculez votre activité. Dès que vous approchez du seuil, déclarez votre activité de loueur en meublé au guichet unique des formalités (INPI) pour obtenir un n° SIRET. Cette inscription est obligatoire afin d’exister aux yeux de l’URSSAF et de l’administration fiscale. Une fois immatriculé, votre location meublée est officiellement reconnue comme activité commerciale (même si exercée en micro-entrepreneur). Bon à savoir : indiquez ce n° SIRET dans votre espace fiscal en ligne, rubrique “mes biens immobiliers”, et auprès de la mairie si location touristique (déclaration en mairie pouvant être requise).
2. Choisissez un régime de cotisations sociales. Trois régimes s’offrent à vous pour payer vos cotisations :
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Micro-entrepreneur (auto-entreprise) : régime simplifié, cotisations forfaitaires sur le chiffre d’affaires. Vous paierez un taux fixe d’environ 21 % sur vos recettes brutes (ou seulement ~6 % si votre logement a obtenu le statut meublé de tourisme classé, ce qui est très avantageux). Avantages : déclaration mensuelle/trimestrielle facile, pas de cotisation minimale (si aucun loyer encaissé, pas de charge sociale). Inconvénient : pas de prise en compte de vos charges réelles (c’est calculé sur les encaissements bruts). Ce régime est accessible uniquement si vos recettes restent dans les limites du micro (plafond de 77 700 € par an pour un meublé classé, et 15 000 € par an pour un meublé non classé à partir de 2025).
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Régime général “collaboratif” : régime moins répandu, disponible sous conditions. Il permet de cotiser au régime général de la Sécurité sociale (comme un salarié) même en exerçant une activité de loueur en meublé indépendant. En pratique, un abattement de 60 % est appliqué sur vos recettes pour calculer les cotisations. Ce régime peut être intéressant si vous êtes déjà salarié et que vous souhaitez cotiser sur cette activité sans changer de caisse, ou si vos charges sont faibles. Cependant, il est soumis à un plafond de revenus (par exemple ~82 800 € en 2021) pour pouvoir en bénéficier. Renseignez-vous auprès de l’URSSAF pour connaître l’éligibilité précise.
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Régime des indépendants (SSI) : le statut par défaut pour un loueur en meublé professionnel. Vos cotisations sont alors calculées sur le bénéfice net de l’activité (recettes – charges déductibles). Le taux global avoisine 40 % du bénéfice. Ce régime est généralement obligatoire si vos recettes dépassent les plafonds du micro-entrepreneur ou si vous optez de vous-même pour le régime réel fiscal. Notez qu’il existe une cotisation minimale d’environ 1 100 à 1 200 € par an, même en l’absence de bénéfices. L’avantage, c’est que seules vos recettes nettes sont soumises à cotisations ; si vous avez beaucoup de charges ou amortissements, la base cotisable peut être bien inférieure à vos recettes brutes. Ce régime est recommandé si vous êtes déjà travailleur non salarié ailleurs, ou si vos revenus locatifs sont élevés.
Astuce pratique
Prenez le temps de comparer ces régimes en fonction de votre situation (montant de loyer, niveau de charges, statut principal, etc.). Par exemple, un logement classé meublé de tourisme permet de payer beaucoup moins de cotisations en micro-entreprise (≈6 %) qu’un logement non classé (≈21 %). À l’inverse, si vos charges déductibles sont très élevées, le régime des indépendants pourrait réduire votre base taxable. N’hésitez pas à utiliser le simulateur de l’URSSAF ou à consulter un expert pour faire le meilleur choix.
3. Déclarez vos recettes et payez les cotisations. Une fois immatriculé et affilié au régime choisi, il vous faudra déclarer périodiquement vos loyers et régler les cotisations correspondantes. En micro-entreprise, la déclaration se fait en ligne chaque mois ou trimestre sur le portail autoentrepreneur.urssaf.fr. En régime indépendant (SSI/réel), ce sera généralement trimestriel via net-entreprises.fr après affiliation sur le site guichet-entreprises.fr. En régime général, l’URSSAF a mis en place un portail dédié (économie collaborative) pour déclarer vos recettes ponctuelles. Conservez un registre de tous vos loyers perçus, factures et charges : en cas de contrôle ou simplement pour bien calculer votre bénéfice, c’est indispensable. Enfin, sachez que l’affiliation engendre aussi le paiement de contributions additionnelles (CSG/CRDS, formation, etc.), mais en contrepartie vous accumulez des droits sociaux (assurance maladie, trimestres de retraite…) sur cette activité. Autant considérer ces cotisations comme un investissement dans votre protection sociale.
Sanctions encourues en cas de non-déclaration (URSSAF)
Que risquez-vous si vous auriez dû vous affilier mais que vous ne l’avez pas fait ? Les conséquences peuvent être lourdes :
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Redressement des cotisations non payées – L’URSSAF est en droit de vous réclamer toutes les cotisations sociales dues rétroactivement sur les années non déclarées. Concrètement, si vous dépassez le seuil depuis 2 ans sans affiliation, on pourra vous appeler les cotisations sur 2 ans (voire 3 ans en arrière, selon la prescription). Cela peut représenter plusieurs milliers d’euros par an. De plus, des majorations de retard s’appliquent : généralement 5 % du montant dû en pénalité initiale, puis 0,2 % par mois de retard supplémentaire. Ces intérêts composés peuvent alourdir notablement la facture au fil des mois.
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Amendes et pénalités financières – Si vous régularisez tardivement de votre propre initiative, vous aurez principalement les majorations de retard ci-dessus. En revanche, si l’omission est qualifiée de fraude avérée (volonté délibérée de se soustraire à l’affiliation), la pénalité peut grimper jusqu’à 50 % des cotisations éludées. Par exemple, si 10 000 € de cotisations étaient dues, l’amende pourrait atteindre 5 000 € en sus du redressement. Par ailleurs, l’administration fiscale pourrait également appliquer des pénalités pour non-déclaration de revenus si vos loyers n’étaient pas correctement déclarés au fisc.
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Requalification en “travail dissimulé” – Le risque le plus grave est la requalification de votre activité en travail dissimulé (dissimulation d’activité). Ce délit, défini à l’article L8221-3 du Code du travail, vise le fait de ne pas accomplir les déclarations obligatoires d’une activité lucrative (URSSAF, fisc…). Si l’URSSAF estime que vous avez intentionnellement caché votre activité de location (ex : volumes importants non déclarés sur plusieurs années), vous encourez des sanctions pénales : jusqu’à 3 ans d’emprisonnement et 45 000 € d’amende pour une personne physique. Des peines complémentaires sont possibles (interdiction d’exercer, etc.). Bien entendu, on n’en arrive là que dans les cas d’abus flagrants ou de récidive, mais c’est un risque réel à connaître.
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Perte du statut LMNP et avantages fiscaux – En restant dans l’illégalité, vous pourriez perdre les bénéfices du statut LMNP auxquels vous teniez. En effet, en cas de redressement lourd, l’administration pourrait requalifier vos revenus en revenus professionnels. Vous risquez par exemple de perdre le droit à l’abattement micro-BIC (si vous y aviez eu droit) ou à la déduction des amortissements sur la période non déclarée. De plus, si votre activité est requalifiée en LMP rétroactivement, l’exonération des plus-values immobilières des particuliers pourrait ne plus s’appliquer en cas de vente d’un bien (les LMP relèvent des plus-values professionnelles, moins favorables). En somme, ne pas se déclarer peut vous faire sortir du cadre fiscal avantageux du LMNP, avec des conséquences financières indirectes (imposition plus lourde) en plus des cotisations URSSAF.
En résumé, l’absence d’affiliation peut coûter bien plus cher que les cotisations elles-mêmes. Mieux vaut agir avant de cumuler redressements, amendes et intérêts de retard.
Comment régulariser sa situation ?
Vous réalisez que vous avez dépassé 23 000 € de recettes sans affiliation ? Pas de panique, il est encore temps de corriger le tir :
1. Contactez rapidement l’URSSAF – Ne tardez pas : prenez l’initiative de vous signaler auprès de l’URSSAF dès que possible, avant qu’elle ne vienne à vous. Expliquez votre situation, et engagez les démarches pour vous affilier rétroactivement. Concrètement, l’URSSAF vous demandera de créer votre compte (si pas déjà fait) et de déclarer vos recettes des années écoulées non déclarées. Il vaut mieux le faire spontanément : en général, les pénalités pour régularisation spontanée sont allégées par rapport à un redressement subi lors d’un contrôle inopiné. D’ailleurs, en 2021, les services fiscaux ont envoyé des emails de relance aux loueurs concernés pour qu’ils se regularisent. Si vous faites le premier pas, vous montrerez votre bonne foi, ce qui peut toujours servir en cas de négociation des pénalités.
2. Faites-vous accompagner d’un professionnel – Il peut être judicieux de consulter un expert-comptable spécialisé en location meublée. Celui-ci pourra vous aider à calculer précisément les cotisations dues sur chaque année (en optimisant si possible, par exemple en reconstituant vos charges déductibles si vous passez en régime réel). Un expert pourra également monter avec vous un dossier de demande de remise gracieuse partielle des majorations ou un échéancier de paiement. L’URSSAF peut, sur demande, étaler la dette sociale sur plusieurs mois si la somme est importante et que vous prouvez votre bonne foi et votre incapacité à payer comptant. Ces démarches administratives sont complexes ; être assisté d’un professionnel vous sécurisera et maximisera vos chances d’un arrangement acceptable.
3. Mettez-vous en conformité pour l’avenir – Une fois régularisé, veillez à ne pas retomber dans l’oubli. Il s’agit désormais de déclarer scrupuleusement vos recettes chaque année (ou chaque trimestre selon le régime) et de payer vos cotisations à l’échéance. Pour vous faciliter la vie, vous pouvez utiliser des outils spécialisés ou plateformes en ligne qui automatisent une partie des déclarations (certaines startups ou cabinets proposent des services pour les LMNP). Gardez un suivi mensuel de vos revenus locatifs : dès que vous approchez du seuil de 23 000 € au cours de l’année, anticipez l’affiliation si ce n’est déjà fait, ou le changement de régime fiscal si besoin. En cas de doute, prenez conseil auprès de professionnels. L’URSSAF n’est pas à éviter : au contraire, en respectant les règles, vous pourrez exercer votre activité de location sereinement et profiter en contrepartie de la protection sociale acquise (retraite, maladie, prestations familiales…) – ce qui n’est pas négligeable pour un bailleur sur le long terme.
Pou conclure, en dépassant 23 000 € de revenus annuels en location meublée de courte durée, vous devenez aux yeux de la loi un hébergeur professionnel. À ce titre, l’URSSAF attend de vous une affiliation et une contribution aux cotisations sociales, comme n’importe quel travailleur indépendant. Ignorer cette obligation peut coûter très cher : redressements, pénalités, voire poursuites pour travail dissimulé dans les cas extrêmes. À l’inverse, en vous mettant en règle, non seulement vous évitez des ennuis, mais vous validez aussi des droits sociaux (assurance maladie, trimestres de retraite, etc.) en rapport avec votre activité. C’est un investissement qui sécurise votre situation sur le long terme.
En 2025, le cadre réglementaire se renforce (plafonds fiscaux réduits pour les Airbnb non classés, échanges de données entre plateformes et administration…). Plus que jamais, anticiper est la clé : déclarez vos revenus au bon moment et choisissez le régime adapté pour vos cotisations. Si besoin, faites-vous accompagner par des experts ou utilisez des outils en ligne pour naviguer dans ces démarches administratives. Vous pourrez ainsi continuer à louer en courte durée l’esprit tranquille, en conformité avec la loi et en évitant les sanctions qui plombent la rentabilité de votre investissement.
Foire aux questions
Les réponses rapides aux questions les plus posées.
Quelles sont les sanctions en cas de travail dissimulé ?
Vous êtes guidé étape par étape pour saisir recettes et charges. Le logiciel calcule les amortissements, génère la liasse fiscale et permet la télétransmission EDI aux impôts en toute conformité.
J’ai dépassé 23 000 € sans le déclarer l’an dernier, que faire ?
Agissez vite : contactez l’URSSAF et demandez une affiliation rétroactive. Vous limiterez ainsi les pénalités (5 % + 0,2 %/mois) et éviterez d’éventuelles poursuites. Préparez-vous à payer les cotisations dues, avec possibilité d’échéancier. Un expert-comptable peut optimiser vos calculs et défendre votre dossier.
Dois-je payer des cotisations sociales même sans bénéfice ?
Oui. En régime indépendant (SSI), un minimum annuel d’environ 1 200 € est dû, même en cas de déficit. En micro-entreprise, vous payez un pourcentage de vos recettes (≈22 % ou ≈6 % si logement classé), mais rien si aucun revenu encaissé. L’affiliation entraîne donc toujours des cotisations, même sans profit.
La loi “anti-Airbnb” 2025 a-t-elle changé le seuil de 23 000 € ?
Non, le seuil URSSAF reste fixé à 23 000 €. Ce qui change, c’est le micro-BIC : les meublés non classés sont plafonnés à 15 000 € de CA (abattement 30 %). Entre 15 000 € et 23 000 €, vous basculez au régime réel fiscal, sans encore payer de cotisations sociales. Les meublés classés gardent un plafond micro de 77 700 € (abattement 50 %).
Et si je confie la gestion à une agence ?
Même via une agence mandatée, vous restez juridiquement l’exploitant. L’URSSAF n’a jamais confirmé d’exemption. Au-delà de 23 000 €, l’affiliation s’impose donc, sous peine de redressement.
Besoin d’aide ? 03 74 47 20 18
Sources
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Code de la Sécurité sociale, art. L611-1 (extraits) – Affiliation obligatoire des loueurs meublés > 23 000 €village-justice.comvillage-justice.com
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Service-public.fr – Cotisations sociales pour la mise en location d’un meublé (fiche officielle à jour 2025)service-public.frservice-public.fr
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Jedeclaremonmeuble.com – LMNP et cotisations sociales : qui doit les payer ? (règles LMNP vs LMP, seuil 23 000 €)jedeclaremonmeuble.comjedeclaremonmeuble.com
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Village de la Justice – Régime social des revenus de location courte durée (2025) (analyse juridique)village-justice.comvillage-justice.com
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Gererseul.com – Déclaration URSSAF obligatoire ? (article fiscalité 2021)gererseul.comgererseul.com
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LMNP.ai – Non-déclaration URSSAF : sanctions (2024) (conseils pratiques LMNP)lmnp.ailmnp.ai
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CMS Law – Travail dissimulé : actions du salarié et de l’URSSAF (actualité juridique 2025, sanctions pénales)cms.lawcms.law
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Propulse by CA – Taux de cotisations micro-entrepreneur 2025 (tableaux par activité, meublé classé 6 %)propulsebyca.frpropulsebyca.fr
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Amarris Immo – Location saisonnière > 23 000 € : impacts (article mis à jour 2025, loi anti-Airbnb)amarris-immo.frlmnp.ai
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Kévin
Expert en fiscalité immobilière
Clément
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