Sommaire de l'article
- Pourquoi un encadrement des loyers à Paris ? Quel logement sont concernés ?
- Comment est fixé le loyer de référence à Paris ?
- Respecter le plafond : loyer de base et complément de loyer
- Que risque-t-on en cas de dépassement du loyer majoré ?
- Peut-on échapper à l’encadrement des loyers ?
- À ne pas confondre : encadrement des loyers vs plafonnement en zone tendue
- À retenir – Les points clés sur l’encadrement des loyers meublés à Paris
- Foire aux questions
- Mon logement meublé est-il soumis à l’encadrement des loyers à Paris ?
- Comment calculer le loyer maximum autorisé ?
- Puis-je dépasser le plafond avec un complément de loyer ?
- Mon locataire paie au-delà du plafond, que peut-il faire ?
- L’encadrement s’applique-t-il aux baux mobilité et étudiants ?
- Que se passera-t-il après 2026 ?
Investir dans une location meublée à Paris offre de belles perspectives, mais il faut composer avec l’encadrement des loyers en vigueur. Depuis le 1ᵉʳ juillet 2019, la capitale impose des plafonds de loyer calculés d’après des loyers de référence. Comment savoir si votre appartement meublé est concerné ? Quel est le loyer maximum autorisé par la loi en 2025, et pouvez-vous demander un complément de loyer pour un bien d’exception ? Quelles sont les sanctions si vous dépassez le plafond ? Dans ce guide pratique, nous vous expliquons tout ce qu’un bailleur en meublé doit comprendre sur l’encadrement des loyers à Paris, avec les règles à jour et des conseils pour rester dans les clous et optimiser votre rendement locatif.
Un outil moderne pour préparer votre déclaration : tenez votre comptabilité, générez une liasse fiscale conforme et envoyez-la aux impôts — simplement.
- Tenir et optimiser votre comptabilité LMNP / LMP
- Produire une liasse fiscale en PDF
- Transmettre votre liasse aux impôts via EDI
- Être 100 % en règle avec l’administration fiscale
Télétransmission EDI incluse · PDF d’aide à la déclaration · Assistance si besoin
Pourquoi un encadrement des loyers à Paris ? Quel logement sont concernés ?
L’encadrement des loyers est un dispositif légal visant à limiter le montant des loyers dans les zones où le marché locatif est très tendu. Paris, confrontée à des loyers élevés, a adopté ce dispositif de manière expérimentale (initialement 2015-2017, réinstauré en 2019 via la loi ELAN). Concrètement, cela signifie que pour tout nouveau bail d’habitation à Paris intra-muros, le loyer hors charges ne peut dépasser un certain plafond fixé par arrêté préfectoral. Ce plafond s’appelle le loyer de référence majoré. Il varie selon les caractéristiques du logement.
Logements visés : Sont concernés tous les logements loués en tant que résidence principale du locataire (bail soumis à la loi du 6 juillet 1989) – y compris les locations meublées d’un an renouvelable, les baux étudiants de 9 mois et les baux mobilités. Donc un meublé loué à l’année à Paris entre bien dans le champ. Peu importe le statut fiscal du bailleur (particulier LMNP ou LMP, SCI…), c’est la nature du bail qui compte. En revanche, ne sont pas soumis à cet encadrement : les locations meublées de courte durée (meublés de tourisme) louées à des touristes avec un bail saisonnier (car ce ne sont pas des résidences principales), les logements HLM ou conventionnés Anah, les logements très anciens régis par la loi de 1948, ou encore les baux dits “code civil” (location consentie pour une résidence secondaire du locataire, soumise au Code civil et non à la loi 1989). Ces catégories obéissent à d’autres règles, mais sortent du dispositif d’encadrement ELAN.
À Paris, l’encadrement des loyers s’applique pour l’instant jusqu’en novembre 2026 (fin de l’expérimentation prolongée par la loi « 3DS »), et pourrait être pérennisé ou non selon les décisions à venir.
Comment est fixé le loyer de référence à Paris ?
Le cœur du système, c’est le loyer de référence. Il est déterminé chaque année par un Observatoire local des loyers, puis homologué par un arrêté préfectoral. Paris est découpée en 80 quartiers administratifs ; pour chacun, l’arrêté fixe un loyer médian au m² en fonction de : la date de construction de l’immeuble (4 périodes : avant 1946, 1946-1970, 1971-1990, après 1990), le type de location (meublé ou vide), et le nombre de pièces du logement. Par exemple, le loyer de référence médian pour un deux-pièces meublé construit avant 1946 dans le quartier Vivienne était de 31,6 €/m² en 2021. Ces chiffres sont actualisés tous les ans (nouvel arrêté généralement en juin pour application en juillet).
Une fois le loyer de référence défini, la loi calcule : le loyer de référence majoré, égal à 120 % du loyer de référence (soit +20%), et un loyer de référence minoré, égal à 70 % du référence (−30%). À Paris, le loyer de référence majoré constitue le plafond légal à ne pas dépasser pour un bail classique. Note : le loyer minoré n’est qu’indicatif, un propriétaire pouvant louer en-dessous sans problème – c’est simplement une référence basse.
Meublé vs vide : Pour les logements meublés, le loyer de référence de base inclut une majoration spécifique d’environ +12 % ces dernières années. En effet, l’Observatoire constate qu’en moyenne un meublé se loue environ 10-15% plus cher qu’un équivalent non meublé (du fait des équipements fournis et de la flexibilité du bail). Ainsi, ne vous étonnez pas que les tableaux de loyer de référence distinguent systématiquement les meublés des vides. En pratique, cela signifie que le plafond au m² est plus élevé pour un meublé que pour un logement vide similaire, ce qui est une bonne nouvelle pour le bailleur en meublé.
Comment connaître le loyer de référence majoré applicable à votre logement ? Vous pouvez utiliser le simulateur officiel en ligne mis à disposition par la préfecture de Paris et la DRIHL. En entrant l’adresse, le type de location (meublé/vide), le nombre de pièces et l’année de construction, vous obtiendrez le loyer de référence, le majoré et le minoré au m² correspondant. Il ne vous reste plus qu’à multiplier le loyer majoré €/m² par la surface habitable de votre bien pour obtenir le loyer plafond en euros. Par exemple, si le loyer de référence majoré est de 40 €/m² et que votre studio fait 20 m², vous ne pouvez pas fixer un loyer de base supérieur à 800 € hors charges.
Astuce pratique
Pour vérifier manuellement, les tableaux de loyers de référence par quartier sont publiés dans l’annexe de l’arrêté préfectoral annuel. La Ville de Paris propose également une carte interactive sur son site pour consulter ces données.
Respecter le plafond : loyer de base et complément de loyer
Lors de la mise en location (ou renouvellement) d’un logement soumis à l’encadrement, le contrat de bail doit mentionner plusieurs chiffres : le loyer de base que vous demandez (hors charges), le loyer de référence médian et le loyer de référence majoré correspondants. Le loyer de base doit être inférieur ou égal au loyer de référence majoré. Si vous respectez cette limite, vous êtes en règle… sauf si vous ajoutez un complément de loyer. En effet, dans certains cas, la loi vous permet de dépasser le plafond via un complément.
Qu’est-ce qu’un complément de loyer ? C’est un montant supplémentaire, négocié avec le locataire, que le bailleur peut exiger en plus du loyer de base, uniquement si le logement présente des caractéristiques particulières de confort ou de localisation qui le distinguent vraiment des logements comparables habituels. En d’autres termes, si votre bien offre un atout exceptionnel introuvable dans le voisinage (ex. une grande terrasse panoramique à Paris, une hauteur sous plafond hors norme, etc.), vous pouvez théoriquement louer plus cher que le plafond officiel en justifiant cet atout par un complément de loyer.
Conditions pour appliquer un complément de loyer :
-
Le loyer de base doit déjà être fixé au plafond maximal (loyer de référence majoré). On ne peut pas ajouter un complément si on loue en dessous du max – cela sert uniquement à dépasser le plafond.
-
Le logement doit présenter une ou plusieurs prestations exceptionnelles : par exemple, une vue exceptionnelle, une grande terrasse ou jardin privatif en plein Paris, un immeuble de standing particulier, etc. Il n’existe pas de liste exhaustive dans la loi, mais on comprend qu’il faut de vrais points forts objectifs (un simple étage élevé avec ascenseur ou une cuisine neuve ne suffisent généralement pas, car courants dans le marché).
-
Depuis 2022, si le logement est classé F ou G au DPE, le complément de loyer est interdit, même s’il a d’autres qualités (le législateur considère qu’une mauvaise performance énergétique empêche de facturer un « complément » confort). Depuis 2025, les logements classés G sont interdits à la location.
Le montant du complément et les caractéristiques le justifiant doivent être explicitement indiqués dans le bail. Le locataire, de son côté, a un délai de 3 mois après la signature pour éventuellement contester un complément de loyer abusif devant la Commission de conciliation. En pratique, les compléments de loyer à Paris sont encadrés par la jurisprudence : par exemple, une terrasse de 10 m² peut justifier un complément modéré, mais un propriétaire ne peut pas doubler le loyer pour autant. Soyez raisonnable et documentez les atouts mis en avant.
Que risque-t-on en cas de dépassement du loyer majoré ?
Ne pas respecter l’encadrement des loyers, c’est s’exposer à des sanctions et des litiges avec le locataire. D’une part, le locataire pourra exiger à tout moment une baisse de son loyer au plafond légal s’il constate qu’il paye plus. Il peut saisir gratuitement la Commission départementale de conciliation, et à défaut d’accord, le juge du tribunal d’instance. Les tribunaux donnent généralement raison au locataire si le dépassement n’est pas justifié (et ordonnent le remboursement du trop-perçu éventuellement depuis le début du bail).
D’autre part, la Mairie de Paris a obtenu le pouvoir de contrôler et de sanctionner les bailleurs indélicats. Après signalement d’un locataire ou d’office, la Ville peut mettre en demeure le propriétaire et, sans régularisation, prononcer une amende pouvant aller jusqu’à 5 000 € pour une personne physique et 15 000 € pour une personne morale (ex. une SCI). Ces amendes administratives tombent de plus en plus : la mairie de Paris a communiqué sa volonté de “sanctionner les propriétaires qui abusent” activement. En 2023, plusieurs dizaines de bailleurs ont ainsi été condamnés à des amendes de 1 000 à 3 000 € pour loyers dépassant de 20 à 100 € le plafond. Mieux vaut donc respecter scrupuleusement le loyer majoré : le jeu n’en vaut pas la chandelle financièrement, d’autant qu’en cas d’amende vous devrez quand même baisser le loyer et rembourser le locataire.
En résumé, en cas de non-respect : baisse forcée du loyer + remboursement des trop-perçus + amende salée potentielle. Et cela peut arriver plusieurs années après la signature (le locataire a 3 ans pour agir).
À noter :
Si, inversement, votre loyer est très inférieur au loyer de référence minoré (70% du médian) – cela peut arriver pour un bail très ancien – vous avez la possibilité en tant que propriétaire, lors d’un renouvellement de bail, de demander une réévaluation à la hausse via la commission de conciliation, pour rattraper en partie le gap. Ce cas est rare à Paris, mais prévu par la loi pour les “loyers sous-évalués”.
Peut-on échapper à l’encadrement des loyers ?
Pour un bailleur qui trouve le loyer de référence majoré trop bas par rapport à ses attentes de rentabilité, quelles sont les solutions ? En dehors du complément de loyer (encadré comme on l’a vu), il existe deux “échappatoires” légales principales : changer le type de bail, ou changer l’usage du logement.
-
Le bail code civil (résidence secondaire du locataire) : Si vous louez à un locataire qui n’en fait pas sa résidence principale (par exemple un pied-à-terre, ou un logement pour une entreprise qui y logera un employé en mission, appelé bail logement de fonction), le bail relève du Code civil et n’est pas soumis à la loi de 1989, donc hors encadrement des loyers. C’est ainsi que certains propriétaires parisiens louent à des sociétés (embassies, entreprises) à des loyers libres. Attention toutefois : ce type de bail n’offre pas les mêmes garanties (durée négociable librement, pas de plafonnement IRL, mais aussi fin de bail plus libre pour le propriétaire). De plus, il est illégal de faire signer un bail code civil à un locataire occupant en réalité le logement en tant que résidence principale – on ne peut pas contourner la loi en appelant le bail différemment, la situation de fait prévaut. Il faut donc un locataire ayant volontairement un autre domicile principal. C’est un cas de niche.
-
La location meublée touristique (bail saisonnier) : Louer votre bien sur Airbnb ou en saisonnier vous affranchit de l’encadrement, puisque ce ne sont pas des baux d’habitation classiques. Les loyers, tarifés à la nuit, y sont libres. Mais : à Paris, la location touristique est strictement réglementée. Si c’est votre résidence principale, vous ne pouvez la louer que 120 jours par an max. Si ce n’est pas votre résidence principale, la louer en courte durée exige une autorisation de la mairie avec compensation (transformation d’un surface équivalente en habitation), autant dire une quasi-impossibilité pour les particuliers. Les amendes pour location illégale dépassent 50 000 € dans certains cas. Cette voie n’est donc pas ouverte à tous et comporte ses propres risques et limites.
Enfin, certains bailleurs choisissent de ne pas augmenter le loyer entre deux locataires (pour fidéliser ou éviter la paperasse) – mais ça ne change rien à l’encadrement qui s’applique quand même si le loyer était déjà au-dessus du plafond. D’autres se tournent vers des logements hors zones encadrées (en investissant dans des communes sans dispositif). Au 13/08/2025, Paris et 18 autres agglomérations appliquent l’encadrement (Lille, Lyon-Villeurbanne, Est Ensemble, Plaine Commune, Montpellier, Bordeaux, etc.), mais la plupart des villes moyennes n’y sont pas. C’est un facteur à considérer dans votre stratégie d’investissement locatif.
À ne pas confondre : encadrement des loyers vs plafonnement en zone tendue
On entend parfois qu’en zone tendue les loyers sont “encadrés”. Il faut distinguer deux mécanismes :
-
L’encadrement des loyers ELAN dont nous parlons depuis le début : plafonnement du niveau du loyer initial d’un bail (dispositif expérimental, appliqué seulement dans certaines villes volontaires comme Paris).
-
Le plafonnement de l’évolution des loyers en zone tendue (loi ALUR 2014) : dans toutes les zones dites tendues (zones urbaines > 50k hab au marché tendu, ce qui inclut Paris et 68 communes d’IDF), la loi interdit au propriétaire d’augmenter librement le loyer entre deux locataires, même si l’encadrement ELAN ne s’applique pas. Concrètement, si vous relouez un logement (vide ou meublé) dans une zone tendue, vous ne pouvez pas fixer un loyer supérieur à celui du précédent locataire, sauf si vous avez réalisé d’importants travaux (≥ 50% du loyer annuel) ou si le loyer était manifestement sous-évalué. Ce plafonnement à la relocation existe partout à Paris depuis 2014, indépendamment du loyer de référence.
À Paris, ces deux règles se cumulent en 2025 :
-
Votre nouveau loyer ne doit pas excéder le dernier loyer appliqué au précédent locataire (loyer actuel, révisé IRL si non révisé depuis 12 mois).
-
Il ne doit pas dépasser le loyer de référence majoré en vigueur non plus.
En général, à Paris, le loyer de référence majoré est le plus contraignant (car le marché a beaucoup monté ces dernières années, donc l’ancien loyer peut être supérieur au plafond théorique si le bail est ancien). Mais il faut garder ces deux obligations en tête pour être parfaitement en règle.
À retenir – Les points clés sur l’encadrement des loyers meublés à Paris
-
Plafond légal imposé : À Paris, tout bail d’habitation (vide ou meublé) en résidence principale doit respecter un loyer maximum fixé par arrêté (loyer de référence majoré = médian × 1,2) déterminé selon le quartier, le type de location et la taille du logement. Consultez le simulateur officiel pour connaître votre plafond.
-
Complément de loyer encadré : Vous ne pouvez dépasser le plafond qu’en ajoutant un complément de loyer justifié par un élément de confort exceptionnel (terrasse, vue unique…). Ce complément doit être mentionné au bail et reste interdit pour les logements classés énergétiquement F ou G.
-
Logements hors dispositif : Les locations meublées touristiques (de courte durée) et les baux pour résidence secondaire du locataire ne sont pas soumis à l’encadrement des loyers – mais ils obéissent à d’autres obligations (autorisations, fiscalité…) et ne conviennent pas à tous les profils d’investisseurs.
-
Sanctions en cas d’abus : Un loyer supérieur au plafond expose le bailleur à la réduction forcée du loyer (sur demande du locataire ou du juge) et à des amendes pouvant atteindre 5 000 € (personne physique). La Mairie de Paris contrôle activement les annonces et baux ; mieux vaut être en conformité dès le départ pour éviter litiges et pénalités.
-
Cumul avec zone tendue : Paris étant en zone tendue, n’oubliez pas que lors d’une relocation, en plus du plafond légal, vous ne pouvez pas augmenter le loyer au-delà du dernier loyer appliqué (sauf conditions travaux ou sous-évaluation). Ces deux règles s’appliquent simultanément.
-
À jour et prospectives : Les valeurs de référence sont révisées chaque année (consultez l’arrêté préfectoral de 2025 pour les chiffres actuels). Le dispositif d’encadrement a été prorogé jusqu’en novembre 2026 et son avenir sera rediscuté à cette échéance. Restez informé des évolutions réglementaires afin d’ajuster votre stratégie locative en conséquence.
Foire aux questions
Mon logement meublé est-il soumis à l’encadrement des loyers à Paris ?
Oui, si le bail concerne la résidence principale du locataire dans Paris intra-muros (loi ELAN), signé ou renouvelé depuis juillet 2019. Exceptions : locations touristiques courte durée, résidences secondaires, logements sociaux, conventionnés ou loi 1948.
Comment calculer le loyer maximum autorisé ?
Identifiez le loyer de référence majoré (€/m²) selon secteur, année de construction, nombre de pièces et type (meublé ou vide). Multipliez par la surface habitable pour obtenir le plafond hors charges. Mention obligatoire dans le bail des loyers de référence, majoré et minoré.
Puis-je dépasser le plafond avec un complément de loyer ?
Oui, si le logement présente un atout rare (ex. vue exceptionnelle sur un monument). Le complément doit être justifié, raisonnable et le logement exempt de défauts majeurs (passoires thermiques exclues).
Mon locataire paie au-delà du plafond, que peut-il faire ?
Il peut demander une baisse et saisir la Commission de conciliation dans les 3 ans. En cas d’échec, le juge peut imposer la réduction, exiger le remboursement et la Ville infliger une amende (jusqu’à 5 000 €).
L’encadrement s’applique-t-il aux baux mobilité et étudiants ?
Oui, au même titre qu’un bail classique, avec possibilité de complément de loyer justifié. Durée courte ou nature spécifique du bail ne permettent pas de dépasser le plafond.
Que se passera-t-il après 2026 ?
Le dispositif court jusqu’en novembre 2026. Sa prolongation ou suppression dépendra de l’évaluation gouvernementale en 2025. Aucun changement avant cette date.
Besoin d’aide ? 03 74 47 20 18
Prenez un rendez-vous avec un professionnel en LMNP / LMP !
Kévin
Expert en fiscalité immobilière
Clément
Expert en défiscalisation