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Investir sans apport en 2025 : principe et contexte
Un prêt immobilier 110% couvre 100% du prix d’achat + ~10% de frais (notaire, garantie, etc.). Cela vous permet de devenir propriétaire sans avancer d’épargne. Légalement, aucun minimum d’apport n’est imposé en France, mais en pratique les banques demandent généralement ~10% d’apport pour couvrir les frais. Depuis janvier 2022, le Haut Conseil de Stabilité Financière (HCSF) a même rendu ces critères contraignants, limitant le taux d’endettement à 35% et la durée à 25 ans (27 ans si neuf). Officiellement, emprunter sans apport est désormais une exception réservée aux meilleurs profils, surtout pour la résidence principale.
Est-ce encore possible en 2025 ? Oui, mais c’est difficile. Les banques peuvent déroger aux règles pour quelques dossiers d’investissement locatif sans apport, à condition d’avoir une situation financière solide. Par ailleurs, le contexte immobilier tend à s’équilibrer en 2025 : les taux d’intérêt, bien qu’en hausse par rapport à 2021-2022, se stabilisent autour de 3,5 – 4% sur 20-25 ans. Les prix immobiliers marquent une pause (+1% seulement au 1er semestre), ce qui peut offrir des opportunités aux investisseurs. Surtout, si la demande locative reste très forte – voire en augmentation – car l’accès au crédit est plus difficile pour de nombreux ménages. Moins d’acheteurs = plus de locataires, dans un contexte où certains bailleurs retirent du marché les logements énergivores (interdiction de louer les biens classés G au DPE depuis 2025). Conclusion : si votre dossier est solide et le bien bien choisi, les banques peuvent encore financer à 110%. Le tout est de prouver la viabilité de votre projet malgré l’absence d’apport.
Quelles conditions pour obtenir un prêt sans apport ?
Pour maximiser vos chances d’emprunter sans apport en 2025, vous devez soigner à la fois votre profil d’emprunteur et le projet immobilier présenté à la banque. Voici les critères clés :
Profil emprunteur : un dossier irréprochable
Les banques prêtent sans apport uniquement aux profils jugés peu risqués. En pratique, cela signifie :
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Revenus stables et suffisants : un CDI ou un statut assimilé (fonctionnaire, profession libérale établie) est quasi indispensable. Un salaire net d’au moins ~2 500 € par mois est souvent cité comme un minimum pour investir sans apport, et >3 000 € augmente significativement vos chances. L’âge joue aussi (être jeune actif <35 ans est un atout), car la banque préfère un emprunt qui se termine avant la retraite.
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Endettement maîtrisé : nouveau prêt compris, votre taux d’endettement ne doit pas dépasser 35% des revenus. La banque calculera vos charges existantes (crédits en cours…) et vos futurs loyers. Bon à savoir : certaines banques intègrent une partie des loyers futurs dans le calcul (environ 70% du loyer attendu) pour alléger le ratio d’endettement si le bien est bien loué.
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Épargne de précaution : paradoxalement, ne pas mettre d’apport ne signifie pas ne rien avoir de côté. Au contraire, la banque appréciera que vous disposiez d’une épargne résiduelle après l’opération (par exemple l’équivalent de 6 mois de mensualités en épargne de secours). Cela prouve que vous pourrez encaisser les imprévus.
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Gestion financière saine : préparez un dossier béton : dernières fiches de paie, avis d’imposition, relevés de comptes sans incident (pas de découverts) sur 6 à 12 mois. Un historique de bonne gestion et un comportement crédible (pas de dépenses inconsidérées) rassureront le banquier. Si vous avez des crédits conso en cours, envisagez un rachat de crédits pour réduire vos mensualités et libérer de la capacité d’emprunt.
Astuce pratique
N’hésitez pas à faire appel à un courtier en prêt immobilier. Ce professionnel saura vers quel établissement se tourner selon votre profil et comment présenter votre dossier sous son meilleur jour. En 2025, presque toutes les banques classiques exigent un apport, mais un courtier connaît les exceptions et négociera les taux et conditions à votre place.
Choix du bien : rentabilité et sécurité
Le projet immobilier lui-même doit mettre la banque en confiance. Sans apport, vous financez tout à crédit : le bien doit générer assez de loyer pour couvrir cette charge supplémentaire. Les points à considérer :
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Rentabilité locative élevée : Viser un bien avec une rentabilité brute d’au moins ~5,5% est recommandé pour un autofinancement complet en 110%. Concrètement, pour un achat de 150 000 €, il faudrait un loyer annuel d’au moins ~8 250 € (soit ~687 € par mois). Avec un meublé, c’est plus facile à atteindre : un logement meublé se loue en moyenne 10 à 20% plus cher qu’un équivalent vide, ce qui augmente d’autant le rendement. De plus, le statut LMNP permet de réduire la fiscalité pour maximiser le cash flow net.
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Emplacement et demande locative : Privilégiez les zones tendues ou à forte demande (villes dynamiques, bassins d’emploi, quartiers d’étudiants…) pour minimiser le risque de vacance locative. Un loyer volontairement un peu en dessous du marché (par ex. -5%) peut aider à trouver preneur plus vite et sécuriser vos revenus. Montrez à la banque que le bien sera facile à louer en continu.
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État du logement : Un bien neuf ou rénové rassure davantage la banque, car il y aura moins de travaux imprévus. En 2025, les normes énergétiques sont cruciales : évitez les logements classés F ou G (passoires thermiques) sans rénovation, car ils seront impossible à louer sans travaux. Si vous optez pour de l’ancien, assurez-vous que les diagnostics techniques sont bons et que les travaux éventuels n’excèdent pas ~5% du budget. Un bon état général limite le risque de dépenses surprises.
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Type de bien et cible locative : Pour un premier investissement sans apport, on conseille souvent de démarrer par un petit appartement (studio, T2) bien situé. Le ticket d’entrée est raisonnable et ces surfaces se louent facilement. Les résidences services (étudiantes, seniors) peuvent être intéressantes : en plus d’une forte demande, elles offrent souvent un régime LMNP avec récupération de TVA (20%) à l’achat – un bonus financier non négligeable. En contrepartie, les loyers y sont plafonnés et indexés au bail commercial, à étudier au cas par cas.
Présentation financière solide
Pour convaincre la banque, vous devez démontrer par A+B que votre opération « tient la route » financièrement, même sans apport. Quelques conseils :
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Faire une simulation détaillée : établissez un prévisionnel des revenus et charges sur la durée du prêt. Incluez le loyer attendu, les charges (taxe foncière, charges de copro, assurance…), l’assurance emprunteur et la mensualité de crédit estimée. Montrez que le loyer couvre au moins la mensualité de prêt + charges, idéalement avec une petite marge positive (ce qu’on appelle une opération « cash flow positif » ou opération blanche si c’est juste à l’équilibre). Cette simulation prouvera la viabilité du projet.
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Mettre en avant les atouts fiscaux : En LMNP réel, vos loyers seront peu ou pas imposés grâce à l’amortissement et à la déduction des intérêts d’emprunt. Expliquez que cela améliore le taux de couverture des mensualités (pas d’impôt à payer sur les revenus locatifs dans un premier temps). Si vous optez pour un dispositif fiscal spécifique (Pinel étant terminé, ce pourrait être Loc’Avantages ou Denormandie pour du non meublé), mentionnez l’économie d’impôt attendue – même si en meublé LMNP, c’est souvent le régime réel le plus efficace.
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Soigner le plan de financement : Proposez, si possible, des garanties supplémentaires. Par exemple, si vous avez un apport partiel (même 5%), cela peut aider à payer les frais de notaire et montrer votre engagement. De même, si vous disposez d’un patrimoine (épargne, autre bien immobilier) à nantir ou d’une caution solidaire d’un proche, cela peut rassurer. L’objectif est de montrer que ni vous ni la banque ne perdrez si le projet tourne mal.
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Anticiper l’assurance emprunteur : Sans apport, le capital emprunté sera plus élevé, donc l’assurance de prêt pèsera dans le coût. N’hésitez pas à faire jouer la concurrence pour l’assurance emprunteur afin de réduire le montant des mensualités assurées (loi Lemoine, délégation d’assurance). C’est un levier pour améliorer votre cash flow.
Avantages et inconvénients d’un investissement sans apport
Investir en meublé sans apport présente des avantages indéniables, mais aussi des risques à avoir en tête. Tour d’horizon :
Les avantages
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Effet de levier maximal : C’est le principal atout. En finançant 100% du bien par l’emprunt, vous conservez votre épargne pour d’autres projets ou imprévus. Votre retour sur investissement (ROI) est démultiplié car vous engagez peu de fonds propres. En cas d’inflation, c’est la banque qui « paie » car la dette se rembourse avec des euros qui valent moins au fil du temps.
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Patrimoine immobilier sans épargne : Le prêt 110% permet de démarrer tout de suite plutôt que d’attendre des années de constituer un apport. Vous profitez plus tôt des loyers et de la valorisation potentielle du bien. Cela peut être un accélérateur pour acquérir plusieurs biens (certains établissements tolèrent 2 à 3 investissements sans apport si les précédents se passent bien).
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Optimisation fiscale du crédit : Investir à crédit procure un double bonus fiscal : d’une part, les intérêts d’emprunt sont déductibles des revenus locatifs (en régime réel, ce qui est le cas en LMNP), et d’autre part le statut LMNP permet d’amortir le bien et le mobilier, effaçant souvent l’imposition sur vos loyers pendant de longues années. En clair, l’argent de la banque finance un bien et vous économisez de l’impôt, ce qui améliore votre rentabilité nette.
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Flexibilité de trésorerie : Sans apport immobilisé dans le projet, vous gardez vos liquidités pour les coups durs ou les dépenses non couvertes par le prêt. Par exemple, financer 110% vous permet de garder votre épargne de précaution intacte, ou de la placer sur des supports disponibles (livrets, assurance-vie) en cas de besoin urgent de fonds.
Les inconvénients
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Mensualités et coût du crédit plus élevés : Emprunter plus (frais inclus) entraîne mécaniquement une mensualité environ 10-20% plus élevée que si vous aviez apporté ces frais. Sur la durée, le coût total du crédit augmente (intérêts sur 105 ou 110% du prix au lieu de 90-95%). Autrement dit, votre projet sera rentable sur le long terme, mais en attendant c’est la banque qui touche plus d’intérêts.
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Exigences bancaires strictes : Comme vu plus haut, sans apport il faut un dossier en béton armé. Cela peut exclure certains profils (revenus trop justes, CDD, antécédents bancaires…). La négociation du taux peut aussi être moins favorable : les banques ajoutent souvent une petite marge de risque (+0,20 à +0,50% de taux) sur un prêt 110%. On vous prêtera, mais plus cher qu’à un candidat avec apport.
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Risque de cashflow négatif : Qui dit mensualité plus forte dit risque accru de déficit mensuel si le loyer est moindre ou en cas d’aléa. Une vacance locative de quelques semaines, un imprévu (travaux non prévus, loyers impayés…) et vous devrez compenser de votre poche. Vous n’avez pas la marge de manœuvre d’un emprunt plus petit. Il est donc impératif de prévoir une épargne de secours pour tenir en cas de pépin (idéalement 3 à 6 mois de crédit d’avance).
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Endettement maximal : Un investissement sans apport consomme davantage votre capacité d’endettement. Vous atteindrez plus vite le plafond des 35%. Concrètement, les banques acceptent rarement d’enchaîner trop d’opérations 110% successives (souvent 2 ou 3 maximum) sans apport ensuite. Il faudra alors ralentir ou commencer à injecter des fonds propres.
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Revente potentiellement moins avantageuse : Spécifique au LMNP : depuis la loi de finances 2025, les amortissements pratiqués doivent être réintégrés dans le calcul de la plus-value imposable à la revente. Autrement dit, l’avantage fiscal à la location (amortissement) est en partie « rattrapé » à la sortie si vous vendez avant l’expiration des abattements pour durée de détention. Cela ne remet pas en cause l’intérêt du LMNP, mais il faut en avoir conscience : plus vous amortissez et vendez vite, plus la note fiscale en cas de plus-value sera élevée qu’auparavant. Bien sûr, si vous gardez le bien très long terme (exonération totale d’impôt sur la plus-value après 22 ans, et de prélèvements sociaux après 30 ans), l’impact sera neutralisé.
Conseils pour réussir son LMNP sans apport
Pour finir, voici quelques bonnes pratiques afin de sécuriser et optimiser votre investissement locatif meublé sans apport :
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Adoptez le régime LMNP réel : Sauf cas particulier, opter pour le régime réel simplifié en LMNP vous permettra de déduire un maximum de charges (intérêts, assurances, travaux, frais d’agence…) et surtout d’amortir le bien et les meubles. Beaucoup d’investissements meublés bien gérés ne paient aucun impôt sur les loyers pendant 10-15 ans grâce à l’amortissement. Ce gain fiscal doit être affecté intelligemment : plutôt que d’augmenter votre train de vie, servez-vous-en pour constituer l’épargne de sécurité ou rembourser éventuellement le prêt par anticipation.
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Sécurisez vos loyers : Ne faites pas l’impasse sur l’assurance loyers impayés (GLI). Pour ~2 à 3% du loyer, elle couvre les éventuels loyers impayés et les frais d’une procédure d’expulsion. C’est d’autant plus crucial quand on a un crédit à rembourser sans marge de manœuvre. Vérifiez les conditions (la GLI exige souvent que le locataire gagne au moins 3x le loyer). Alternative ou complément : le dispositif Visale (gratuit) peut couvrir jusqu’à 36 mois de loyers pour les locataires éligibles.
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Choisissez une durée de prêt adaptée : Pour maximiser le cash flow, on pourrait être tenté d’étaler le crédit sur 25 ans. Toutefois, 25 ans vs 20 ans n’abaissent la mensualité que d’environ 15%, tandis que le coût total d’intérêts augmente de ~25%. Le meilleur compromis est souvent 20 ans : vous sécurisez l’autofinancement tout en évitant de payer trop d’intérêts. Si le projet est légèrement déficitaire à 20 ans, mieux vaut apporter une petite somme ou augmenter le loyer (si le marché le permet) que rallonger exagérément la durée.
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Préparez l’avenir : Sans apport aujourd’hui ne veut pas dire jamais d’apport. Pensez à épargner une partie des loyers chaque mois. Par exemple, placez les excédents de loyer et économies d’impôt sur un compte dédié : en 2-3 ans, vous constituerez plusieurs milliers d’euros utilisables comme apport pour une future acquisition. Cela vous donnera plus de levier pour négocier un meilleur taux ou acheter un bien plus ambitieux plus tard.
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Ne surestimez pas vos revenus : Soyez prudent dans vos estimations. Comptez toujours des charges imprévues (entretien, carences…) et ne misez pas sur un loyer maximal dès le départ. Une règle de prudence : calculez votre rentabilité avec 20% de charges totales (vacance, frais) et un loyer un peu en dessous du marché. Si le projet reste rentable dans ce scénario conservateur, vous aurez de bonnes surprises. Dans le cas contraire, mieux vaut le savoir avant de signer…
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Alternatives intelligentes : Si vraiment aucune banque n’accepte de vous prêter sans apport, ne vous découragez pas. Vous pouvez envisager d’investir autrement pour vous constituer un apport. Par exemple, les SCPI (sociétés civiles de placement immobilier) permettent d’investir avec quelques milliers d’euros seulement, pour un rendement de 4-6%. Ce n’est pas du crédit, mais en plaçant régulièrement vous accumulerez un capital à nantir ou apporter plus tard. Autre idée : l’achat-revente rapide (fix & flip) sur un petit bien peut générer un bénéfice qui servira d’apport ensuite – mais c’est plus risqué et requiert de bien connaître le marché.
Foire aux questions
Les réponses rapides aux questions les plus posées.
Une banque peut-elle prêter 110% en 2025 sans apport ?
Oui, mais c’est rare. La plupart des banques demandent 10% pour les frais. Le Crédit Agricole est réputé plus souple, mais tout dépend du dossier : revenus élevés, faible endettement et gestion exemplaire. Un courtier peut aider à trouver la banque la plus ouverte.
Quel salaire minimum pour investir sans apport ?
Pas de seuil officiel, mais viser 2 500 € nets/mois est un minimum, et autour de 3 500 € pour mettre toutes les chances de votre côté. Le taux d’endettement doit rester ≤35% avec un reste à vivre suffisant. Un CDI ou des revenus stables sont essentiels.
Peut-on obtenir un cash flow positif sans apport ?
Oui, si le bien est très rentable (≥5,5% brut). Exemple : un bien de 100 000 € loué 550–600 €/mois peut s’autofinancer sur 20 ans. La location meublée au régime LMNP réel optimise la fiscalité et favorise un excédent de trésorerie.
Jusqu’à quel montant peut-on emprunter sans apport ?
En pratique, les financements 110% concernent des biens de 100 000 à 200 000 €. Au-delà de 300 000 €, c’est exceptionnel sans apport, sauf hauts revenus. La banque ajuste selon votre capacité de remboursement ; un apport partiel peut débloquer le dossier.
Quels sont les principaux risques à surveiller ?
Vacance locative, impayés, travaux imprévus et hausse de taux. Prévoir une épargne de sécurité, sélectionner soigneusement les locataires et privilégier un taux fixe sécurise l’opération.
Besoin d’aide ? 03 74 47 20 18
Sources
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Investissement-Locatif.com – « Investir en LMNP sans apport », article publié le 28 avril 2025investissement-locatif.cominvestissement-locatif.com
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Trackstone.fr – « Investissement locatif sans apport en 2025 : 6 solutions » (Florent Vaudelin, 3 août 2025)trackstone.frtrackstone.fr
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Vinci-Immobilier.com – « Acheter pour louer sans apport : est-ce toujours possible en 2025 ? » (article modifié le 06/08/2025)vinci-immobilier.comvinci-immobilier.com
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Vinci-Immobilier.com – « Réforme du LMNP en 2025 : ce qu’il faut retenir » (Loi de finances 2025)vinci-immobilier.comvinci-immobilier.com
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Empruntis.com – « Quelles sont les banques qui prêtent sans apport en 2025 ? » (guide du 01/01/2025)empruntis.comempruntis.com
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Économie.gouv.fr – « Loc’Avantages : louez abordable… » (extension du dispositif jusqu’en 2027)economie.gouv.fr
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Kadran.com – « Quelles banques accordent un prêt immobilier sans apport en 2025 ? »
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