Dépôt de garantie en location meublée : tout ce que vous devez savoir

Montant maximum, délai de restitution, encaissement, différences meublé vs vide, obligations légales... Notre guide complet 2025 vous dit tout sur le dépôt de garantie en location meublée (LMNP). Conseils pratiques, exemples et FAQ pour vérifier vos droits et éviter les litiges.

Marie Nouhaud

29 août 2024

10 Minutes de lecture

Contrat

Le dépôt de garantie – souvent appelé caution – est un passage obligé lors de la signature d’un bail de location meublée. Cette somme, encadrée par la loi, sert de filet de sécurité pour le propriétaire en cas de loyer impayé ou de dégradations du logement. Quel montant peut-on exiger en 2025 pour une location meublée non professionnelle (LMNP) ? Dans quels délais le locataire récupérera-t-il sa caution ? Quelles obligations légales doivent respecter bailleurs et locataires, et que faire en cas de litige sur la restitution ? Notre guide complet fait le point, avec des informations à jour, des conseils concrets et les dernières règles légales pour éviter les mauvaises surprises.

 
 

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Qu’est-ce que le dépôt de garantie en location meublée ?

Le dépôt de garantie est la somme d’argent versée par le locataire au propriétaire au début de la location, généralement lors de la signature du bail. Il vise à couvrir d’éventuels manquements du locataire à ses obligations : loyers impayés, charges impayées, dégradations du logement ou du mobilier...

Ce n’est pas une obligation légale : un bailleur peut choisir de ne pas demander de dépôt de garantie. 

Mais dans la pratique presque tous les propriétaires le réclament pour se protéger. S’il en exige un, le propriétaire doit le mentionner dans le contrat de bail et respecter les plafonds fixés par la loi.

Attention :

À ne pas confondre avec la “caution solidaire” : ici on parle bien de la somme d’argent bloquée, et non de la personne qui se porte garante du locataire. Par abus de langage, le dépôt de garantie est souvent appelé caution, mais juridiquement la caution est un garant, tandis que le dépôt de garantie est la somme versée et conservée en garantie pendant la durée du bail.

Le dépôt de garantie n’est pas un paiement de loyer anticipé, il reste la propriété du locataire et doit lui être restitué en fin de bail sauf en cas de retenues justifiées (nous détaillons plus loin les conditions de restitution). Le propriétaire conservece montant pendant la location (aucune loi ne l’oblige à le placer sur un compte spécifique, et il ne produit pas d’intérêt durant la période).

Quel est le montant maximum du dépôt de garantie en meublé ?

En location meublée, la loi autorise un dépôt de garantie pouvant aller jusqu’à deux mois de loyer hors charges.

Ce plafond a été introduit par la loi ALUR de 2014 (insérée à l’article 25-6 de la loi du 6 juillet 1989) pour encadrer les pratiques.

🛠️ Exemple :

Pour un loyer de 800 € + 50 € de charges, le dépôt de garantie maximal sera de 1 600 € (2 × 800 €)

En comparaison, pour une location non meublée (vide), le dépôt de garantie est plafonné à un mois de loyer hors charges. 

Certains cas particuliers prévoient des règles différentes :

  • Pour un bail mobilité (location meublée de courte durée, 1 à 10 mois, sans reconduction tacite), aucun dépôt de garantie ne peut être demandé par le bailleur. Ce type de bail, créé par la loi ELAN, vise à faciliter la mobilité des locataires : seule une caution Visale ou un garant peut être exigé, mais pas de somme bloquée.

  • Si le bail stipule un loyer payable d’avance pour plus de 2 mois (par exemple un loyer trimestriel payé à l’avance), alors la loi interdit également au propriétaire de demander un dépôt de garantie supplémentaire. Ce cas est rare en pratique (logements loués à des sociétés, etc.), mais il faut le savoir.

  • Pour les locations meublées hors résidence principale (locations saisonnières ou de vacances, logements de fonction…), le plafonnement légal de 2 mois ne s’applique pas. Le montant du dépôt de garantie est librement fixé par le contrat dans ces situations, souvent équivalent à un ou deux semaines de loyer, selon la durée de la location.

Attention : le montant du dépôt de garantie doit être fixé dès la signature du bail et ne peut pas être modifié en cours de bail ni lors d’un renouvellement du contrat

Versement et encaissement du dépôt de garantie

Le dépôt de garantie est versé au moment de l’entrée dans les lieux, généralement le jour de la signature du bail et de la remise des clés. Le locataire remet la somme au propriétaire (ou à l’agence mandatée) par l’un des moyens autorisés :

  • Chèque bancaire : C’est le mode le plus courant. Le propriétaire doit encaisser le chèque sans tarder. Contrairement à une idée répandue, il n’est pas “illégal” d’encaisser la caution – au contraire, il est préférable de la déposer en banque immédiatement. Cela permet de vérifier que le chèque est provisionné et évite qu’il ne devienne périmé (un chèque non encaissé expire après 1 an et 8 jours).

  • Virement bancaire : Le locataire peut virer le montant sur le compte du bailleur. Dans ce cas, il est recommandé d’anticiper la procédure (enregistrement du RIB du propriétaire, délais interbancaires) pour que le virement soit effectué à la date de signature du bail.

  • Espèces : Le paiement en liquide est possible, mais au-delà de 1 000 € il est juridiquement encadré. En pratique, ce mode est peu utilisé. Si le dépôt est versé en espèces, le bailleur doit fournir un reçu écrit au locataire pour attester de la somme remise.

  • Organisme tiers : Un locataire éligible peut solliciter une aide pour financer son dépôt de garantie, par exemple l’Avance Loca-Pass d’Action Logement (prêt sans intérêt couvrant le dépôt) ou une prise en charge par le FSL (Fonds de solidarité logement) pour les ménages en difficulté. Dans ces cas, l’organisme paiera la somme au propriétaire, que le locataire remboursera ensuite selon les conditions de l’aide.

Conseille pour le bailleur : Encaissez systématiquement le dépôt de garantie et remettez un reçu ou une quittance spécifiant qu’il s’agit du dépôt de garantie du locataire. Côté locataire, conservez la preuve de votre versement (reçu, copie du chèque débité ou virement) jusqu’à la restitution.

Délai de restitution et retenues : comment se passe la restitution ?

En fin de bail, si tout se passe bien, le dépôt de garantie a vocation à être restitué intégralement au locataire. La loi fixe des délais maximum de restitution à respecter par le propriétaire :

  • 1 mois si l’état des lieux de sortie est conforme à l’état des lieux d’entrée, c’est-à-dire s’il n’y a aucune dégradation ni somme due. Le délai court à partir du jour où le locataire a rendu les clés.

  • 2 mois si des dégradations ou impayés sont constatés en fin de bail. Ce délai allongé permet au bailleur d’évaluer les dommages, de chiffrer les réparations et de déduire les sommes nécessaires avant de rendre le solde au locataire.

Ces délais valent pour les baux signés depuis la loi ALUR (après mars 2014). Dans la plupart des cas en 2025, on est donc soumis au régime 1 ou 2 mois. (À noter : pour de très vieux baux encore en cours signés avant 2014, l’ancien délai unique de 2 mois pouvait s’appliquer par défaut.)

Retenues légitimes sur le dépôt de garantie

Le propriétaire est en droit de prélever sur le dépôt de garantie les montants nécessaires pour couvrir les manquements du locataire. Les cas justifiant une retenue sont précisément encadrés :

  • Loyers impayés et charges impayées : tout mois de loyer resté dû à la fin du bail, ou toute provision de charge non soldée, peut être déduit du dépôt. Par exemple, si le locataire est parti en laissant le dernier loyer impayé, le bailleur peut se rembourser sur la caution. Attention : cela ne doit pas encourager le locataire à “utiliser” sa caution pour payer le dernier loyer (cette pratique est illégale, voir plus bas).

  • Dégradations du logement : les réparations des dommages causés par le locataire peuvent être retenues sur le dépôt. On entend par là les détériorations au-delà de l’usure normale : trous dans les murs non rebouchés, équipements cassés ou manquants, meuble détérioré, peinture sérieusement endommagée, etc.

  • Entretien non effectué : si le locataire a négligé l’entretien courant qui lui incombait, le propriétaire peut déduire les frais de remise en état. Par exemple, le nettoyage approfondi si le logement est rendu très sale, le ramonage d’une cheminée non entretenue, le remplacement de joints de robinetterie jamais changés causant des fuites, etc.

  • Dépenses de réparation et de nettoyage : plus globalement, tous les frais engagés par le bailleur pour remettre le logement dans l’état où le locataire aurait dû le rendre peuvent être imputés sur le dépôt. Cela inclut éventuellement le coût d’une société de ménage ou d’artisans pour les travaux de remise en état.

Pour être valables, ces retenues doivent impérativement être justifiées. Le bailleur doit fournir au locataire des documents justificatifs prouvant le bien-fondé et le montant des sommes retenues : copie des états des lieux d’entrée et de sortie pour montrer les dégradations, factures ou devis de réparation ou de remplacement, constat d’huissier le cas échéant, photos datées, etc. En absence de preuves, le locataire pourrait contester les retenues.

A noter :

Usure normale vs. dégradations : le propriétaire ne peut pas exiger que le logement soit rendu “comme neuf”. L’usure liée au temps (vétusté) est à la charge du bailleur.

Cas des immeubles en copropriété : si le logement est un appartement avec des charges locatives provisionnées, le bailleur peut être dans l’attente de la régularisation annuelle des charges de copropriété. La loi l’autorise dans ce cas à conserver jusqu’à 20 % du montant du dépôt de garantie jusqu’à la clôture des comptes annuels. Ce n’est qu’une provision : dès que les charges sont définitivement arrêtées, le bailleur doit rendre le solde dû au locataire (sous un mois après l’arrêté des comptes). Cette mesure évite au propriétaire de courir après l’ancien locataire pour un reliquat de charges. Si aucune régularisation n’était finalement nécessaire, la somme retenue doit être restituée intégralement.

Location meublée vs location vide : quelles différences de dépôt de garantie ?

Les règles du dépôt de garantie sont globalement similaires entre une location meublée et une location vide, à deux exceptions près :

  • Montant maximal exigible : en bail meublé (résidence principale), le dépôt est plafonné à 2 mois de loyer hors charges, contre 1 mois seulement en bail vide. Le bail meublé justifie ce plafond plus haut car le logement contient des meubles et équipements appartenant au bailleur, qui peuvent être abîmés ou disparaître – ce risque supplémentaire justifie un dépôt plus conséquent. En bail vide, le propriétaire ne garantit que l’immobilier (murs, sol, installations fixes).

  • Bail mobilité : ce type de contrat n’existe qu’en location meublée. Or, le bail mobilité interdit tout dépôt de garantie. Il n’y a pas d’équivalent en location vide (où de toute façon la caution est plafonnée à 1 mois dans le bail classique).

Pour le reste, aucune différence : que le logement soit meublé ou non, le dépôt de garantie doit être restitué dans le même délai (1 mois sans dégâts, 2 mois avec dégradations) et sert aux mêmes fins (couvrir loyers impayés, réparations, etc.). Le propriétaire doit également justifier de la même manière les retenues et appliquer la pénalité de 10%/mois de retard le cas échéant – ces obligations découlent de la loi du 6 juillet 1989 pour toutes les locations à usage de résidence principale (vides ou meublées).

En résumé, hormis le montant double en meublé, les locataires bénéficient de la même protection légale sur leur dépôt de garantie dans les deux régimes.

Que faire en cas de litige sur la restitution du dépôt ?

Malgré le cadre légal en place, il arrive que des conflits surviennent autour du dépôt de garantie : propriétaire qui tarde ou refuse de rendre la caution, locataire qui conteste des retenues jugées abusives, etc. Voici la marche à suivre pour résoudre ces litiges :

  1. Dialogue amiable : Commencez toujours par contacter le bailleur (ou l’agence) pour faire le point. Il peut s’agir d’un oubli ou d’une simple lenteur administrative. Un appel ou un email rappelant les délais légaux et le souhait de récupérer la somme peut suffire.

  2. Lettre de mise en demeure : Si le propriétaire ne réagit pas ou conteste à tort, le locataire doit formaliser sa demande. Envoyez une lettre recommandée avec accusé de réception détaillant les sommes dues (dépôt non rendu ou montant injustement retenu) et rappelant éventuellement la pénalité légale de 10% par mois de retard. Donnez un bref délai (par ex. 8 jours) pour s’exécuter. Cette mise en demeure écrite constitue une preuve de votre bonne foi et informe officiellement le bailleur de ses obligations.

  3. Conciliation : En cas d’échec, il est possible de saisir gratuitement la Commission Départementale de Conciliation (CDC) compétente ou de faire appel à un Conciliateur de justice. Ce sont des organismes qui proposent une médiation informelle entre propriétaire et locataire pour trouver un accord à l’amiable. La saisine de la CDC se fait par courrier adressé à la commission dont dépend le logement. Une réunion de conciliation (gratuite) sera alors organisée. Si un accord est trouvé, un document écrit formalisera les engagements (ex : le bailleur s’engage à restituer X € avant telle date).

  4. Action en justice : Si aucune solution amiable n’aboutit, le locataire peut engager une procédure judiciaire. Le litige relatif au dépôt de garantie relève du tribunal judiciaire (ancien tribunal d’instance) du lieu du logement. Pour un montant modeste, il peut agir sans avocat via une procédure simplifiée (injonction de payer ou saisine du juge des contentieux de la protection). Le locataire dispose d’un délai de 3 ans à partir de la date à laquelle le dépôt aurait dû être rendu pour agir en justice. Passé ce délai, sa demande pourrait être prescrite.

En justice, si le propriétaire est reconnu fautif (retard non justifié, retenues abusives sans preuves…), il sera condamné à restituer les sommes dues, éventuellement majorées des 10% par mois de retard, plus éventuellement des dommages et intérêts si le locataire a subi un préjudice particulier. À l’inverse, si le bailleur démontre que les retenues sont légitimes et dûment justifiées, le juge pourra donner raison au propriétaire (par exemple, caution retenue pour financer des réparations réellement imputables au locataire).

Éviter le litige : Pour prévenir ces situations, quelques conseils s’imposent. D’une part, réaliser un état des lieux d’entrée et de sortie précis et contradictoire : ce document est la clef de voûte pour constater l’état du logement et sert de référence en cas de désaccord. D’autre part, locataires comme bailleurs ont intérêt à communiquer : un locataire qui doit partir plus tôt pourra informer le propriétaire pour trouver un arrangement (relouer vite et éviter des impayés), un bailleur qui identifie un problème pourra en parler au locataire avant de faire faire des travaux coûteux, etc. Enfin, connaître ses droits et devoirs aide à désamorcer bien des conflits : le dépôt de garantie n’est pas fait pour “piéger” le locataire, mais pour couvrir les frais réels en cas de problème. Si chacun respecte sa part du contrat, la restitution de la caution se déroule sereinement, et le locataire peut récupérer son argent dans les délais prévus.

Pour conclure, le dépôt de garantie en location meublée est un élément central du contrat de location, pensé pour protéger les deux parties. Pour le propriétaire, c’est une assurance financière en cas d’incident ; pour le locataire, c’est une somme qu’il récupérera s’il remplit ses obligations. En 2025, le cadre légal – issu notamment de la loi ALUR – fixe clairement les règles du jeu : montant maximum de deux mois de loyer, restitution sous 1 ou 2 mois, pénalité en cas de retard, justificatifs obligatoires pour toute retenue, etc.

En tant que locataire, veillez à bien entretenir le logement et à régler vos loyers jusqu’au dernier jour : vous mettrez ainsi toutes les chances de votre côté pour récupérer l’intégralité de votre dépôt de garantie. Côté bailleur, respectez les procédures (états des lieux, justificatifs, délais) et soyez de bonne foi dans vos demandes : cela évitera des litiges coûteux et chronophages. Le dépôt de garantie n’est pas un supplément de loyer, mais une garantie temporaire qui doit idéalement être restituée au locataire. Une location bien gérée, c’est un dépôt de garantie rendu dans les règles.

FAQ Dépôt de garantie en location meublée 

1 Quel est le montant maximum du dépôt de garantie en location meublée ?
Le bailleur peut exiger jusqu’à deux mois de loyer hors charges et pas un centime de plus. Ce plafond, fixé par la loi ALUR, englobe uniquement la part « loyer » : les charges ne doivent pas être comptées dans le calcul.

2 Le dépôt de garantie est-il obligatoire dans un bail meublé ?
Non ; la loi n’impose pas de dépôt. Toutefois, la grande majorité des propriétaires le demandent pour couvrir loyers impayés et dégradations, à condition de le mentionner clairement dans le contrat de location.

3 Sous quel délai le dépôt de garantie doit-il être restitué au locataire ?
Le propriétaire dispose de 1 mois après la remise des clés si aucun dégât n’est constaté. Ce délai passe à 2 mois lorsqu’il y a des retenues justifiées pour dégradations ou impayés.

4 Le propriétaire peut-il encaisser le chèque de caution ?
Oui, et c’est même recommandé : l’encaissement immédiat assure la disponibilité des fonds et évite qu’un chèque devienne caduc. Le dépôt reste la propriété du locataire jusqu’à la fin du bail, même s’il est encaissé.

5 Peut-on utiliser le dépôt de garantie pour régler le dernier loyer ?
Non ; le locataire doit verser chaque loyer jusqu’à la fin du contrat. La caution sert uniquement après l’état des lieux de sortie pour compenser les sommes réellement dues.

6 Que peut retenir le propriétaire sur la caution ?
Uniquement les loyers ou charges impayés et les frais de remise en état liés à des dégradations prouvées — factures, devis ou photos à l’appui. L’usure normale ou la vétusté restent à la charge du bailleur.

7 Que faire si le propriétaire ne rend pas le dépôt de garantie ?
Envoyez d’abord une mise en demeure par recommandé. Sans réponse, saisissez la Commission départementale de conciliation ou un conciliateur, puis le tribunal judiciaire ; le bailleur encourt une pénalité de 10 % du loyer par mois de retard.

8 Quelle différence entre dépôt de garantie et caution solidaire ?
Le dépôt de garantie est une somme bloquée au début du bail. La caution solidaire est une personne (ou un organisme comme Visale) qui s’engage par écrit à régler les dettes du locataire si celui-ci fait défaut.

9 Le dépôt de garantie est-il imposable pour le propriétaire LMNP ?
Tant qu’il est restitué, il n’entre pas dans la base imposable. Seule la part définitivement conservée (pour impayés ou dégâts) devient un revenu locatif à déclarer l’année de sa retenue.

 

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